En plein ciel


Récemment, je suis allé à Rennes, je me suis offert une initiation au pilotage d’avion. A bord d’un Piper PA 28, un appareil idéal pour un premier vol. Et j’ai tellement savouré cette sortie que j’ai bien l’intention de recommencer un jour. e m’imaginais que la partie pilotage soit compliqué, mais en fin de compte, ça se fait sans problème. En fait, j’ai appris ce jour-là qu’on peut piloter un avion avant même d’avoir un permis voiture ! Pourquoi ? D’abord, c’est bien plus facile que la voiture : après tout, il n’y a même pas le problème des vitesses. Puis, il faut bien comprendre que là-haut, il y a quand même bien moins de trafic ! Voilà pourquoi il est possible d’obtenir son sa licence tout en étant mineur. Suite à ce vol, je me demande pourquoi j’ai tellement attendu pour m’y essayer, alors qu’il y a un aéroclub à dix minutes de chez moi. Pourquoi j’ai sauté le pas en étant chez des amis ? D’autant que ça se passe quasi toujours ainsi. Ca doit être une règle dans l’univers, j’imagine. C’est quand on est loin de chez soi qu’on fait le plus de choses. Ce qui est plutôt aberrant, quand on y réfléchit. Je ne sais pas pour quelle raison. Peut-être est-ce le fait de sortir du cadre familier, et qu’on réveille d’une certaine façon notre désir d’aventure. Mais je trouve que c’est dommage. Je crois que je vais essayer de changer cette tendance en essayant de faire des activités nouvelles autour de chez moi. En espérant que je m’y tiendrai ! Je vous mets en lien le site où j’ai déniché mon stage de pilotage d’avion, si vous voulez en savoir plus. En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de ce pilotage avion.



Politique alternative au Pakistan


Il ne rêvait que d’un petit vélo pour sa fille. Il est brièvement devenu richissime, mais n’en a jamais rien su. Au Pakistan, d’éphémères milliardaires en roupies font les gros titres, victimes de fraudes, et embarrassent le gouvernement. A 43 ans, Mohammad Rasheed, un chauffeur de tuk-tuk vivant dans un bidonville de Korangi, en bordure de Karachi, la plus grande ville du pays, n’a jamais connu l’opulence. Il assure avoir économisé un an durant pour acheter une bicyclette d’occasion à Nabeeha, 6 ans. Le vélo rose aux pneus usés a finalement été acquis pour 300 roupies (2 euros). Quand l’Agence d’enquête pakistanaise (FIA) l’a appelé il y a quelques semaines au sujet de transactions de 3 milliards de roupies (19,5 millions d’euros) qu’il aurait effectuées en 2004, Mohammad Rasheed est tombé des nues. AFP. Illettré, il dit n’avoir d’abord pas compris les sommes en jeu. Puis il a voulu prendre la fuite. «Le pays est bien comme il est, ainsi qu’il a été transmis par les générations passées», estime Dick Salzsieder, directeur général du Shangri-La, un ensemble de trois hôtels sur la mer, à une heure de Mascate. En filant vers la montagne du Hajar à 2.000 mètres d’altitude, on observe le désert, qui recouvre un tiers de la péninsule, sauvage et intact. A trois heures de voiture de la capitale, on croit assister à la naissance du monde. Les vallées sont cultivées comme des vergers. Dans les sommets où ruminent les chèvres gourmandes, compagnes des Bédouins, les hôteliers omanais ont réussi à édifier des points de halte confortables. A 1.200 ou 2.000 mètres d’altitude, ils accueillent les visiteurs qui assistent aux courses de dromadaires traditionnelles, ponctuées par des chants et des danses à al-Kamil Wal Wafi et à Barka, dans le nord. De ce point de vue, les Omanais ont le génie de l’accueil et ils ont su civiliser les immensités du désert et les chaînes de montagnes sans les métamorphoser en caravansérails pour hordes de curieux.